Aujourd’hui, nous vous présentons le parcours de Hasnaa ALAOUI, notre Adjointe RQSE.
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je suis Hasnaa ALAOUI, native de Casablanca, une ville considérée comme le poumon économique du Maroc. Après avoir obtenu un Baccalauréat scientifique avec l’option SVT, j’ai pris mon courage à deux mains et je suis venue en France pour poursuivre mes études universitaires. J’ai obtenu un master en Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement à Lille.
Mes passions sont la lecture, la cuisine bio et le cinéma.
Pourquoi as-tu décidé d’étudier dans ce domaine ?
Après avoir obtenu mon Baccalauréat, je me suis inscrite en Licence de Biologie-Biochimie. J’ai découvert tout ce qui concerne la précision, la rigueur, la manipulation et la méthodologie dans ce domaine.
Lors d’un salon professionnel à Rennes, j’ai rencontré un responsable QSE qui m’a ouvert les yeux sur l’importance et le lien entre le contrôle qualité et le management QSE. C’est à ce moment-là que j’ai décidé de me réorienter vers un parcours exclusivement axé sur la Qualité, l’Hygiène, la Sécurité et l’Environnement (QHSE). Ma conviction de continuer dans cette direction s’est installée naturellement. Sans hésiter, j’ai candidaté à l’Université Polytechnique de Valenciennes pour poursuivre mes études en QHSE grâce à l’alternance.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
Au quotidien, mes tâches consistent à assurer le suivi du système Qualité en continu (Surveillance et optimisation des processus de l’entreprise), la sensibilisation des différents acteurs internes de l’entreprise sur les enjeux qualité, l’application des textes normatifs fixés par l’ISO en matière de management de la qualité ainsi que la documentation et mise en place des processus liés à la sécurité.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Le métier connu sous l’étiquette de « Adj RQSE » que j’exerce au sein d’ERSF est un métier passionnant, et demande de la ténacité et une forte capacité à travailler en transversal, il faut faire avancer dans le même sens un ensemble d’acteurs qui n’ont pas forcément au départ le même intérêt.
C’est cet ensemble cohérent qui me plait dans mon métier et je compte bien rester dans ce domaine tout au long de ma carrière professionnelle.
Quel est le meilleur moment de ta journée ?
J’apprécie énormément la pause déjeuner, c’est l’occasion de faire une coupure et mettre son cerveau en veille. Egalement, c’est un moment privilégié pour créer des liens avec mes collègues, partager et apprendre à se connaître.
Quelles sont les qualités requises pour exercer ton métier ?
Travail en équipe, le sens de l’organisation, l’adaptabilité, la capacité d’analyse.
Une dernière phrase pour conclure ?
Je suis fière d’appartenir à cette entreprise. Travailler en transversal m’a permis de mesurer toute la dimension d’un contexte projet avec ses imprévus, ses adaptations et la force d’une équipe engagée dans un objectif commun.
Aujourd’hui, nous vous présentons le parcours d’Eric Biyah, notre Directeur Administratif et Financier.
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Eric Biyah, j’ai 46 ans. J’ai rejoint Eurailscout France en mai 2016 et j’occupe actuellement le poste de Directeur Administratif et Financier.
J’ai obtenu un Master en finance de l’école supérieure du commerce à Lille, après une formation universitaire généraliste en Administration Économie et Sociale. En ce qui concerne mes passions, j’aime beaucoup le sport : le football pendant longtemps, et maintenant je joue régulièrement au tennis et au golf.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
Mes tâches sont assez variées et c’est ce qui fait tout l’intérêt de mon poste. Mais la mission principale de la DAF est de s’assurer de la bonne santé financière de l’entreprise à travers sa rentabilité et sa solvabilité. Et cela passe par la réalisation des budgets et prévisions de trésorerie fiables. Ma première tâche chaque matin en arrivant, c’est saluer l’équipe, discuter et faire le point sur les sujets en cours. S’il y a des urgences à traiter, on s’en occupe.
Au quotidien, je gère également les problèmes administratifs qui peuvent se poser (commandes, bureaux, fournitures, …).
Quelle a été ta plus grande réussite chez Eurailscout ?
Ma plus grande réussite est d’avoir accompagné la croissance de l’entreprise qui a renforcé ses effectifs depuis mon arrivée et multiplié son chiffre d’affaires par 2 en 7 ans.
Quel est le meilleur moment de ta journée ?
Le meilleur moment de la journée c’est quand je rencontre les collègues pendant la pause et peux discuter autour de la machine à café. Ce sont des moments d’échanges informels assez agréables.
Quel a été ton plus grand challenge ?
Il y en a eu plusieurs. Ce sont surtout les projets qui ont apporté un changement sur le mode de fonctionnement et leur adoption par les équipes : l’implémentation d’un ERP pour gérer les commandes et les factures, la mise en place d’une solution de gestion des congés, la digitalisation des fiches de paies, la dématérialisation du processus de traitement des factures, la mise en place de suivi des temps d’activité…
Ton meilleur souvenir chez Eurailscout ?
Les différents séminaires, qui sont toujours un moment très agréable pour échanger et partager les réussites des uns et des autres.
Quelles sont les qualités requises pour exercer ton métier ?
Rigueur, Esprit d’analyse et de synthèse, disponibilité auprès des équipes.
Une dernière phrase pour conclure ?
Le ferroviaire est une aventure professionnelle et humaine enthousiasmante.
J’espère que la société continuera de grandir et accompagner le plus longtemps possible cette croissance.
Nous vous présentons aujourd’hui le parcours de Nicolas Gruet, qui occupe actuellement le poste de Gestionnaire de flotte.
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
J’ai grandi dans le Sud de la France, dans le Gard (30). Après mon bac j’ai pris mon courage à deux mains et je suis venu à Paris pour faire une classe préparatoire qui m’a permis d’intégrer l’école d’ingénieur CentraleSupélec. Bien qu’ayant une spécialisation dans le domaine de l’énergie, j’ai travaillé dans le ferroviaire dès mon premier travail !
Pour ce qui est de mes passions, je cours et nage plusieurs fois par semaine comme certains le savent. J’aime également beaucoup faire des randonnées bien longues avec des sacs lourds, mais aussi le cinéma, le théâtre et le rock’n’roll !
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Le fait de toujours faire des choses différentes, de ne pas savoir de quoi ma journée sera faite, et aussi d’avoir à échanger avec beaucoup de personnes différentes. J’aime également le fait d’apprendre continuellement auprès, que ce soit au bureau avec des experts ou sur le terrain avec les opérateurs qui savent tout sur les engins !
Quel est le meilleur moment de ta journée ?
J’aime bien simplement arriver le matin et saluer les collègues, leur bonne humeur permet d’oublier son lit et se mettre à travailler ! Également la pause de midi car mon estomac grogne en général déjà depuis longtemps, et c’est toujours le cadre de discussions intéressantes.
Quel a été ton plus grand challenge ?
Après le départ de Charles j’ai dû me former rapidement au poste de Gestionnaire de Flotte pour reprendre ses activités et faire face à l’audit ECE qui approchait ! Heureusement notamment grâce à l’équipe soudée que nous sommes, nous avons pu être certifié pour un an encore.
Ton meilleur souvenir chez Eurailscout ?
Les deux séminaires auxquels j’ai pu participer je pense, spécialement le karaoké du dernier !
Une dernière phrase pour conclure ?
Je viens de fêter mes 1 an chez Eurailscout, donc Happy Birthday à moi 😉 Je suis content de l’année écoulée et enthousiaste quand je vois les évolutions envisagées. Hâte de voir la suite !
Nous vous présentons aujourd’hui le parcours de Massiva Djennane, qui occupe actuellement le poste d’Expert Mesure à Eurailscout France.
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je suis Massiva Djennane, je viens de Tizi-Ouzou, une ville située au nord d’Algérie.
Après l’obtention d’une licence en Electronique à l’université de Tizi-Ouzou (UMMTO), je suis venue en France pour poursuivre mes études. J’ai obtenu un Master en capteurs, instrumentation et mesures (Sorbonne université) et un autre Master en Instrumentation pour la pollution atmosphérique (UPEC).
Mes passions : J’aime la lecture, le sport, le tricot et la broderie.
Pourquoi as-tu décidé d’étudier dans ce domaine ?
J’ai toujours aimé les matières scientifiques et l’expérimentation. L’électronique m’offre la possibilité de pouvoir créer et tester en matière concrète ce qui est théorique (formules mathématiques, lois physiques …). L’aspect capteur et mesures donnent également la capacité de quantifier des grandeurs physiques et donc de contrôler les processus et de les améliorer.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
Mes tâches consistent globalement à réaliser des validations des systèmes de mesures de nos engins (données géométrie de la voie et géométrie caténaire), à expliquer et résoudre les anomalies détectées sur les datas mesures et chercher des améliorations sur les systèmes de mesures qui sont installés sur le train.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Ce que j’aime le plus dans mon métier, c’est l’habileté à pouvoir visualiser le processus de mesures en entier (de l’acquisition des données sur le train jusqu’au post-traitement des données réalisé au sein de la société) et interagir, au quotidien, avec plusieurs équipes différentes.
Quel est le meilleur moment de ta journée ?
J’apprécie énormément le déjeuner dans la salle de pause de la société. C’est un moment d’échange et de convivialité qui permet de mieux connaitre les personnes que je côtoie quotidiennement.
Quelle a été ta plus grande réussite chez Eurailscout ?
La participation à la validation des mesures de la géométrie caténaire 25kV. En effet, ce fut un travail d’équipe et de coordination entre les différents services d’Eurailscout France.
Ton meilleur souvenir chez Eurailscout ?
Il y a de nombreux bons souvenirs, mais mon préféré est le Secret Santa Reversed que la société avait organisé quelques jours avant Noël. J’ai trouvé que c’était un moment de partage et d’échange sympathique.
Une dernière phrase pour conclure ?
Je suis ravie d’avoir intégré cette société. Occuper cette fonction me permet d’apprécier les différents aspects de la mesure en industrie, et de découvrir les différents défis et contraintes liés au monde du ferroviaire comme le respect des plannings de production et des temps d’intervention.
NOTRE ÉQUIPE #11 : BENJAMIN, INGÉNIEUR TOPOGRAPHE
Intégrant Eurailscout en tant que consultant, Benjamin aujourd’hui occupe le poste d’ingénieur topographe. Voici son acheminement au sein de l’entreprise.
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je suis Benjamin Balland, je viens de Nancy (54). Après un BAC S et une classe préparatoire PS, je me suis orienté vers des études d’ingénieur géomètre-topographe à l’École Supérieure des Géomètres-Topographes (ESGT) du Mans. Mes loisirs sont le cinéma, la course à pied ainsi que les bons restaurants.
Pourquoi as-tu décidé d’étudier dans ce domaine ?
Je me suis lancé dans la topographie un peu par hasard, mais j’avais le souhait de faire un métier concret. Aussi, le métier de géomètre-topographes permet d’allier la science, la technique et des résultats concrets tels que les nuages de points issus des acquisitions Lidar.
Raconte-nous ton parcours chez Eurailscout ? Comment as-tu intégré l’entreprise ? Quel est ton poste ?
J’ai intégré Eurailscout en octobre 2018 d’abord en tant que consultant dans le cadre du projet OMEGA2N (expérimentation d’une chaine de production d’analyse gabarit), puis en juin 2022 en tant qu’ingénieur « Données 3D » pour la mise en production de cette chaine de traitements au sein de l’USINE3D.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
J’ai essentiellement des tâches de production, de suivi, de communication des résultats à notre client. Ces tâches comprennent : la réception et le contrôle des données 3D (nuages de points, extractions de la position des files de rails) puis l’analyse gabarit calculée sur cette base.
J’ai également pour rôle de gérer l’équipe de production 3D lors de la réalisation de ces tâches de productions.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Le fait participer au bon fonctionnement du transport ferroviaire en France en utilisant mes compétences techniques.
Quel est le meilleur moment de ta journée ?
Le meilleur moment de ma journée est le point d’avancement de fin de journée lorsque je peux me rendre compte de ce qui a été fait en une journée.
Ton meilleur souvenir chez Eurailscout ?
Mes meilleurs souvenirs chez Eurailscout sont les moments de convivialités que nous passons chaque année lors des séminaires.
Quels conseils pourrais-tu donner à ceux qui souhaitent effectuer ton métier ?
Toujours être organisé et rigoureux dans toutes les étapes de son travail
Toujours contrôler son travail
Une dernière phrase pour conclure ?
Je suis fier de faire partie d’Eurailscout depuis bientôt 4 ans.
NOTRE ÉQUIPE #10 : HENRI, NOTRE DIRECTEUR DES PROJETS ENGINS
Intégrant Eurailscout France en octobre 2021, nous vous présentons aujourd’hui le parcours d’Henri Dupuis, actuellement Directeur des projets engins.
Pour commencer, peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je suis Henri Dupuis, originaire d’Amiens dans la Somme. J’ai obtenu un diplôme d’ingénieur généraliste avec une dominante en mécanique. Lors de mes études supérieures, j’ai usé et abusé de la possibilité d’étudier à l’étranger au Danemark et en Autriche. Ce furent des expériences personnelles et humaines riches qui m’ont beaucoup plu.
Passionné par la musique et parallèlement à mes études, j’ai intensivement pratiqué la trompette seul ou dans différentes formations classiques ou jazz.
Pourquoi as-tu décidé d’étudier dans ce domaine ?
À l’époque, je n’avais pas d’idée préconçue sur le métier que je souhaitais pratiquer plus tard. J’aimais les sciences et la technologie, comprendre le fonctionnement des choses tout en étant curieux sur les autres domaines. La formation d’ingénieur me paraissait la plus polyvalente et ouverte pour me laisser le temps d’affiner mes choix. Finalement, cette vision s’est avérée correcte et j’ai pu préciser mes goûts au cours de mes diverses expériences professionnelles.
Raconte-nous ton parcours chez Eurailscout ? Comment as-tu intégré l’entreprise ? Quel est ton poste ?
J’ai intégré Eurailscout France le 1er octobre 2021 alors que je cherchais à intégrer une petite structure dynamique. Je souhaitais également me relocaliser en France après avoir travaillé pendant pratiquement 10 années en Allemagne. Je suis le directeur des projets engins.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
Nous sommes responsables de la conception, la construction, la validation, l’autorisation et la mise en service de nouveaux engins visant à ausculter l’infrastructure ferroviaire. Ces projets complexes nécessitent d’être organisés, coordonnés, suivis et contrôlés pour atteindre avec l’ensemble des membres de l’équipe les objectifs visés en respectant les délais fixés, la qualité du produit final vis-à-vis des attentes de notre client et l’enveloppe budgétaire allouée.
La gestion de projet étant une activité transversale à tous les départements de l’entreprise, il s’agit également de fédérer une équipe projet composée de nombreuses parties prenantes (au sein d’Eurailscout France, auprès des collègues de notre maison sœur aux Pays-Bas, nos sous-traitants /fournisseurs, intégrateurs, experts dans les multiples domaines-électrique, mécanique, données, mesure, … utilisateurs finaux, client, …) localisées dans différents pays européens et dont les intérêts et sensibilités sont parfois contradictoires. Nous veillons donc à embarquer toutes ces personnes dans notre projet pour le faire avancer de la manière la plus efficace possible.
Quelles compétences as-tu développées dans l’entreprise ?
Lors de mes expériences professionnelles précédentes, ma langue de travail principale était l’allemand. Je parlais de temps en temps en anglais et en français. Aujourd’hui, c’est exactement l’inverse. Je dois communiquer tous les jours en français et anglais et de temps en temps en allemand. Et qui dit langue, dit aussi culture, c’est-à-dire se confronter au prisme déformant de la vision de chacun qui peut impacter ses systématismes, ses approches, son fonctionnement, son imaginaire, ses normes et même ses valeurs. Bien que je sois né en France, j’ai été très marqué par la culture et la manière de travailler allemandes qui sont assez différentes de celles pratiquées en France. Cette confrontation nécessite parfois de prendre du recul, de se remettre en question et cela permet d’apporter un œil neuf sur certains sujets.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Notre projet évolue dans un environnement technique international / européen. Nous travaillons avec les Pays-Bas, l’Italie, l’Autriche, l’Allemagne, la Belgique. J’aime travailler sur des problématiques techniques variées dans un contexte d’interculturalité fort et faire en sorte que les compétences et expertises différentes de chacun puissent être mises à profit pour faire avancer les projets. Notre job est un mélange assez équilibré entre technique et management, ce qui conviendrait à une personne qui ne souhaiterait pas suivre une carrière d’expert dans un domaine technique. Les problématiques humaines restent néanmoins toujours au premier plan dans la réussite d’une entreprise collective.
Quelle a été ta plus grande réussite chez Eurailscout ?
Au-delà du symbole d’une grande réussite qui a fait intervenir de nombreux membres d’une équipe, comme lorsque nous avons pu finaliser la conception de notre nouvel engin, ce sont les petits progrès du quotidien que je trouve également très satisfaisants. Lorsque nous réussissons avec les contributions de chacun à résoudre un blocage technique ou humain dans un paquet de travail en trouvant une solution ou une approche innovante, ou bien lorsque nous progressons dans la formalisation de nos approches, recueillons et capitalisons de nouvelles compétences, savoir-faire, nous nous améliorons et constatons de manière tangible le résultat de nos efforts.
Quels conseils pourrais-tu donner à ceux qui souhaitent effectuer ton métier ?
Aimer fondamentalement le travail en équipe et enrichir ses réflexions des apports de chacun des membres. Être exemplaire dans son management. Rester curieux et impliqué dans les sujets techniques. Avoir une manière de communiquer transparente et claire. La maîtrise de l’anglais est fondamentale pour pouvoir travailler dans un environnement international.
Une dernière phrase pour conclure ?
Face aux grands défis de nos sociétés, le ferroviaire devrait avoir un bel avenir alors, rejoignez-nous !
NOTRE ÉQUIPE #9 : OLIVIER, TECHNICIEN DE MESURE SUR L'UFM160
Il sillonne la France avec notre engin UFM160, voici le parcours d’Olivier, l’un de nos techniciens de mesure en infrastructure ferroviaire.
Pour commencer, peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je suis Olivier FERCOT et vit de Compiègne. Je suis diplômé en commerce et aime le sport et les activités de plein air.
Raconte-nous ton parcours chez Eurailscout ? Comment as-tu intégré l’entreprise ? Quel est ton poste ?
Je suis rentré chez Eurailscout en Avril 2021 suite à une offre d’emploi comme opérateur de wagon SIM. Depuis début 2022, je suis technicien de mesure sur l’UFM 160.
Peux-tu nous raconter une journée type lorsque tu es dans le train ?
Nous arrivons le matin, 1 à 2 h avant l’heure du départ et inspectons le train à l’intérieur et l’extérieur pour vérification du bon fonctionnement de celui-ci ainsi que tous les systèmes de mesures (électronique et mécanique).
Par la suite nous préparons la journée de travail, les différents trajets prévus, les marches, les sillons et les particularités du trajet.
Lors du départ et pendant le trajet nous surveillons et vérifions que toutes les mesures fonctionnent correctement et alertons en cas de panne.
Nous effectuons une tournée d’inspection en fin de mesure, rédigeons un rapport journalier et nous envoyons les données de mesure au service de post-traitement Eurailscout France.
Quelles compétences as-tu développées dans l’entreprise ?
J’ai beaucoup appris en électronique, informatique ainsi que du domaine ferroviaire (géométrie de la voie, géométrie caténaire, signalisation).
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Ce que j’aime le plus c’est le voyage, la rencontre des différents intervenants (conducteur, fournisseurs de système de mesure).
Quel a été ton plus grand challenge ?
Il est en cours, c’est d’être formé sur l’intégralité de l’UFM 160, une machine complexe et complète, pleine de défis au quotidien.
As-tu une anecdote à nous raconter (à propos de ton métier, ton entreprise, une tâche que tu as dû réaliser …) ?
Il y en a tellement… mais lorsque je suis resté bloqué pendant 5h de nuit entre le stade de France et la Tour Pleyel à Saint Denis avec vue sur la Tour Eiffel et aucun train sur le réseau Paris Nord. Il a fallu beaucoup de patience pour finir la journée qui fut rallongée de 5h.
Quelles sont les qualités requises pour exercer ton métier ? Et quels conseils pourrais-tu donner à ceux qui souhaitent effectuer ton métier ?
La curiosité, la rigueur, l’enthousiasme, les connaissances en informatique ainsi que le goût du voyage sont les qualités requises pour exercer mon métier.
Je conseille à tous de nous rejoindre, c’est un métier passionnant dans lequel aucune journée ne se ressemble.
Un dernier mot pour la fin ?
On est sur du bon rail !
NOTRE ÉQUIPE #8 : LAETITIA, DIRECTRICE DU DÉVELOPPEMENT
Intégrant Eurailscout France en tant que responsable/coordinatrice des projets, nous vous présentons aujourd’hui le parcours de Laetitia Achard, actuellement directrice du développement.
Pour commencer, peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je suis Laëtitia Achard, 39 ans, originaire de la région parisienne et diplômée de Centrale Nantes en 2006. J’ai fait ma dernière année d’école d’ingénieur à l’UPC de Barcelone avec comme spécialité Transports et services urbains.
Côté personnel, je pratique l’équitation depuis mon enfance et j’aime voyager pour découvrir de nouvelles cultures.
Pourquoi as-tu décidé d’étudier dans ce domaine ?
Le ferroviaire est à la fois technique, mais aussi d’un usage quotidien. Le mélange de ces deux composantes m’intéresse. C’est aussi le mode de transport lié au développement durable, un enjeu qui me tient à cœur.
Raconte-nous ton parcours chez Eurailscout ? Comment as-tu intégré l’entreprise ? Quel est ton poste ?
Avant d’intégrer Eurailscout France, j’ai travaillé sur différents projets d’infrastructure ferroviaire en tant que MOE (maitre d’œuvre) puis MOA (maitre d’ouvrage) aussi en bien en phase d’études que de phase réalisation et mon précédent poste était en tant qu’analyste pour le comité des engagements et des investissements au sein de SNCF Réseau.
J’ai intégré Eurailscout France en tant que responsable/coordinatrice des projets, le 1ᵉʳ avril 2020, une date qui se retient bien pour plusieurs raisons (Non, ça n’est pas un poisson !).
Contexte sanitaire oblige, nous étions 100 % en télétravail, mais j’ai été très bien accueillie et intégrée en ayant vu mes collègues uniquement à distance.
Mon poste consistait à mettre en cohérence le suivi des différents projets d’Eurailscout (déploiement d’Irissys, nouveaux services de mesures) en termes de suivi financier, de gestion des risques et des délais.
J’ai ensuite travaillé sur des sujets de recherche et de développement, notamment ceux utilisant de l’analyse automatique d’images.
Je suis depuis début 2022 en charge du développement des nouveaux services et de la R&D au sein d’Eurailscout France.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
Mes taches sont très diverses, par exemple gérer l’avancement de projets, leur suivi budgétaire, rédiger des propositions techniques et commerciales puis en suivre la réalisation, nouer des contacts en vue de collaboration avec des entités de R&D de SNCF, ou d’autres clients potentiels.
Quelles compétences as-tu développées dans l’entreprise ?
Des connaissances sur la mise à disposition des livrables issus des trains de mesures Eurailscout, sur le logiciel Irissys, sur la méthode Agile des projets informatiques, en intelligence artificielle, mais aussi de travailler dans un environnement international avec donc comme langue d’échanges l’anglais.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
L’intelligence artificielle est une technologie nouvelle et innovante et qui offre de nombreuses perspectives, ce qui est très enrichissant.
J’aime aussi les échanges riches qu’il est possible d’avoir dans une structure comme Eurailscout France qui, étant à taille humaine, évite le cloisonnement entre les différents métiers.
Quelle a été ta plus grande réussite chez Eurailscout ?
- De voir aboutir à la signature des contrats EMI (Engin de Mesure des Infrastructures ferroviaires), WIM (wagon inspection mesures) … avant de pouvoir assister à leur début de service
- De livrer les évolutions souhaitées au client de BPL Iryssis
- D’avoir le retour positif d’utilisateurs du projet TOTEM (Traitement opérationnel des tournées des engins de mesure)
Quel a été ton plus grand challenge ?
J’ai pris mon poste durant le 1er confinement, donc pas dans une situation idéale pour faire connaissance et s’intégrer à l’équipe existante, mais j’y suis parvenue grâce à la bienveillance de mes collègues d’Eurailscout France.
Une dernière phrase pour conclure ?
Eurailscout France a de belles perspectives de développement et donc des challenges stimulants à mener à bien !
NOTRE ÉQUIPE #7 : MAJURAN, NOTRE CHEF DE MACHINE UFM 160
Passé de Technicien de mesures des infrastructures ferroviaires à chef de machine de l’UFM 160, nous vous présentons aujourd’hui le parcours de Majuran.
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je m’appelle Majuran Ragunathan, né au Sri Lanka et arrivé en France très jeune. Après avoir obtenu ma licence professionnelle de métrologie contrôle qualité en 2013, j’ai effectué quelques missions avant d’intégrer l’équipe Eurailscout France.
Mes passions sont la danse, les jeux vidéo ainsi qu’explorer le monde.
Raconte-nous ton parcours chez Eurailscout ? Comment as-tu intégré l’entreprise ? Quel est ton poste ?
J’ai rejoint Eurailscout France en 2016 en tant que technicien de mesure au sein de l’équipage de l’UFM160 par le biais d’un professeur de mon école. Aujourd’hui, suite à une évolution, je suis devenu chef de machine de l’UFM160.
Peux-tu nous raconter une journée type lorsque tu es dans l’engin ?
La journée commence par une vérification complète de l’engin et des systèmes de mesure (absence de fuite ou dégradation du train, vérification de tous les niveaux générateurs, moteur et boite de vitesse.)
Ensuite, on assiste les conducteurs lors des essais de frein, on prépare la mission du jour avec les marches envoyées par l’établissement logistique nationale SNCF Réseau.
Sur l’UFM nous avons un opérateur en tête de cabine pour surveiller la position du train sur notre système de localisation et un Measurement Leader qui consiste à surveiller le bon fonctionnement de tous les appareils de mesure durant les marches d’auscultation.
Quelles compétences as-tu développées dans l’entreprise ?
Chez Eurailscout France, j’ai développé mon relationnel technique et managérial, ma capacité à partager mes connaissances, mes compétences dans la formation de nouveaux arrivants et mes connaissances techniques sur les systèmes de mesure.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Ce que j’aime le plus dans mon métier est d’avoir le privilège de sillonner la France afin de découvrir de nouveaux horizons et paysages. Mon travail me permet également une grande diversité technique ce qui rend chaque journée unique.
Quel est le meilleur moment de ta journée ?
Mon meilleur moment de la journée est celui où j’envoie les données sans aucune perte de mesure démontrant que les systèmes et l’engin ont bien fonctionné. C’est le sentiment d’accomplir une belle journée de travail.
Quelle a été ta plus grande réussite chez Eurailscout ?
Ma plus grande réussite chez Eurailscout France est d’avoir obtenu le poste de chef de machine qui était mon objectif depuis mon arrivée dans l’entreprise.
Ton meilleur souvenir chez Eurailscout ?
Mon meilleur souvenir est d’avoir cheminé le long de la rivière des Alpes avec l’UFM 160 où j’ai pu contempler de magnifiques paysages.
Quelles sont les qualités requises pour exercer ton métier ? Et quels conseils pourrais-tu donner à ceux qui souhaitent l’effectuer ?
Les qualités requises pour exercer le métier de chef de machine sont d’avoir des connaissances théoriques et pratiques sur l’engin et ses systèmes de mesures, être pragmatique, avoir un bon sens du relationnel et savoir se remettre en question.
Être curieux, rigoureux, savoir communiquer, être à l’écoute de l’opinion de ses collaborateurs et beaucoup de patience sont mes conseils pour effectuer ce métier.
NOTRE ÉQUIPE #6 : GUILLAUME, NOTRE DIRECTEUR GÉNÉRAL
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je m’appelle Guillaume Jehanne et viens du Sud-est de la France, plus particulièrement d’un village à côté de Grasse. J’ai fait des études d’ingénieur généraliste. Depuis août 2017, je suis le Directeur Général d’Eurailscout France.
En dehors du travail, je pratique le tuba dans un groupe et j’aime bien voyager pour découvrir le monde.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
Après un tour dans les étages ou notre point quotidien de direction, mes journées tournent autour de trois sujets principaux :
Les hommes et les personnes : notre activité est basée fortement sur les compétences humaines et il est important pour l’entreprise de valoriser ces compétences, les développer et les partager. Pour cela, chacun doit pouvoir trouver sa place, se développer et avoir des perspectives d’évolution dans l’entreprise, se plaire au quotidien dans son boulot et se sentir appartenir à un groupe.
Le deuxième sujet, lié au premier, c’est de travailler à diversifier nos activités : afin de faire grandir la boîte et d’ouvrir ainsi des perspectives professionnelles et mieux valoriser le travail que nous faisons. Ce sont donc des projets, de la technique, des échanges avec des experts, mais aussi la relation commerciale, rencontrer de nouveaux clients potentiels, écouter leur besoin, leur présenter nos savoir-faire et trouver des opportunités.
Le troisième sujet, c’est la gestion du quotidien, des aléas, des imprévus. Voir comment je peux faciliter le travail de chacun, débloquer des situations qui seraient bloquées. Partager avec les équipes sur la sécurité, la production, les finances, la communication, les réponses à nos clients, les remises d’offres, le suivi des projets en cours…
Mes tâches quotidiennes sont ainsi très variées.
Quelles compétences as-tu développées dans l’entreprise ?
Indéniablement j’ai développé des connaissances en informatique et gestion des données, en système de mesure : je ne cherche pas à devenir expert, mais je suis mieux capable aujourd’hui de comprendre ces sujets qu’en arrivant il y a 4 ans.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
La variété des sujets et notre capacité collective à être agile, adaptable, solidaire et responsable. La crise du COVID nous l’a montré de façon forte et cela restera une grande fierté collective.
Quel est le meilleur moment de ta journée de travail ?
Quand des problèmes de production sont résolus grâce à l’implication de chacun et les propositions du collectif. Lorsque nous avons des crises de production (pannes, problèmes de qualité de livrable, réactivité), les solutions les plus robustes sont celles qui sont trouvées avec toute la chaine de production : des opérateurs terrain, aux agents de post traitement en passant par l’encadrement. L’engagement de tous est essentiel, notre service concourt à la SÉCURITÉ FERROVIAIRE et la fiabilité des installations. Cette conscience est essentielle. Elle doit nous tenir tous les jours à réaliser nos taches avec la plus grande rigueur.
Quelle a été ta plus grande réussite chez Eurailscout ?
Sur nos activités historiques, nous avons en quelques années validé la mesure de géométrie de la voie avec le wagon SIM, renforcé la coopération avec l’ingénierie SNCF pour la validation des systèmes de mesure géométrie caténaire et signalisation. Un gros travail sur la mise en qualité de la mesure Ultra son a été initié, il reste à parfaire et boucler pour donner toute sa pleine efficacité.
Sur ces bases, nous avons pu contractualiser avec SNCF Réseau le développement du nouvel Engin de Mesures de l’Infrastructure (EMI) qui entrera en production début 2023.
Par ailleurs, nous transformons une très jeune société de mesures en société de services digitaux. Après avoir planté les bases indispensables de la collecte de données, nous avons su en quelques années :
- Développer nos services d’intégration de logiciel comme IRISSYS® ;
- Développer les bases de l’IA dans notre domaine d’activité avec la reconnaissance d’image, de signaux ;
- Mettre en place un service de traitement des données 3D en partenariat avec ALTAMETRIS
- Imaginer les offres de services qui relient ces différentes activités en lien avec nos partenaires
Quelles sont les qualités requises pour exercer ton métier ? Et quels conseils pourrais-tu donner à ceux qui souhaitent effectuer ton métier ?
De la patience et de la diplomatie (j’y travaille encore)
De la ténacité, de l’écoute et de l’envie !
Faites-vous confiance, soyez curieux, cherchez. Il est toujours plus enrichissant de proposer des solutions aux problèmes plutôt que de se plaindre. Ayons pleine conscience de notre rôle et de notre responsabilité pour la sécurité et la fiabilité du transport ferroviaire.
Qu’aimerais-tu ajouter pour conclure ?
Je suis content de cette belle aventure. Je n’étais pas destiné à travailler dans le domaine de la donnée et des services digitaux, mais c’est un univers riche et plein de nouveautés. Ces sujets sont au cœur de l’innovation et des découvertes technologiques encore à venir qui donneront plus de fiabilité au système ferroviaire tout en garantissant un niveau de sécurité irréprochable.
Par ailleurs, le monde du ferroviaire est un domaine porteur d’avenir compte tenu de son impact dans la lutte contre le réchauffement climatique. Par notre activité, nous contribuons à la modernisation du monde ferroviaire et cela rend notre mission encore plus passionnante et essentielle, car utile.
NOTRE ÉQUIPE #5 : CHARLENE, NOTRE ASSISTANTE DU RESPONSABLE DE PRODUCTION DPC
De Technicienne de post-traitement de données à Assistante de responsable de production : nous vous présentons dans cet article le parcours de … Charlène, arrivée en 2016 chez Eurailscout France !
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je m’appelle Charlène Parin. Maman de 28 ans, je suis originaire de Normandie où j’y ai fait la plupart de mes études. J’ai débuté avec un baccalauréat scientifique pour ensuite me diriger vers un DUT mesures physiques. Je suis ensuite venue sur Paris pour finir mon DUT et effectuer une Licence professionnelle de métrologie qualité et sécurité environnementale.
Je suis une grande passionnée de photographie et de roman policier. J’aime également jouer aux jeux vidéos lorsque j’ai le temps.
Raconte-nous ton parcours chez Eurailscout ? Comment as-tu intégré l’entreprise ? Quel est ton poste ?
Tout juste en sortant de la licence en 2016, j’ai intégré Eurailscout France en tant que Technicienne de Traitement de données grâce à une société de recrutement.
Puis j’ai évolué au grade d’Assistante du responsable DPC en 2019.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
Mes tâches quotidiennes consistent principalement à organiser la production de post-traitement de données, c’est-à-dire que j’organise et encadre l’équipe de technicien de traitement de données. J’ai aussi pour fonction de former les nouveaux techniciens et d’aider la production en cas de besoin. Je mets tout en œuvre pour que nos clients reçoivent nos données dans les délais et en qualité.
Quelles compétences as-tu développé dans l’entreprise ?
Au fur et à mesure des années, j’ai développé des connaissances dans le domaine du ferroviaire. Mais j’ai aussi beaucoup appris humainement. Étant mon réel premier emploi, j’ai notamment appris les codes de conduite en entreprise et appris à prendre une équipe en main.
J’ai aussi déployé des nouvelles capacités en informatique.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
La nouveauté. Nous sommes une entreprise en pleine expansion. Plein de données et de mesures sont prises et apportent leurs lots de nouveauté. J’aime aussi énormément les échanges que nous avons. À mon poste, je dois énormément communiquer avec l’ensemble de mon équipe, mais aussi avec les équipes de mesures afin de pouvoir organiser le travail et les livraisons de données.
Quelle a été ta plus grande réussite chez Eurailscout ?
Ma plus grande réussite (plutôt récente) a été d’être validé sur un nouveau processus assez complexe à mon sens, qui permettra à Eurailscout France de rendre les données avec une plus grande fiabilité dans ces mesures et donc de meilleure qualité.
Cette réussite colle de très prêt avec mon passage à Cadre en cette année 2021.
Quel a été ton plus grand challenge ?
Mon plus grand challenge est toujours le même et c’est celui me motivant tous les jours ; le management de l’équipe de technicien. Savoir organiser tout en sachant les connaissances de chacun et tout en respectant le rythme de tous.
Quels conseils pourrais-tu donner à ceux qui souhaitent effectuer ton métier ?
Ne rien lâcher et savoir sortir de sa zone de confort tout en sachant dire que l’on ne sait pas faire si nécessaire. Montrer qui l’on est et rester sincère envers soi-même et son équipe.
Une dernière phrase pour conclure ?
Je finirais par la citation suivante de M. LONDRES Albert : “La seule ligne que je connaisse, c’est celle de chemin de fer.”
NOTRE EQUIPE #4 : JEAN, L'UN DE NOS CHEFS DE PROJET
A la tête du projet TOTEM chez Eurailscout France, nous vous présentons dans cet article … Jean Gaignebet, l’un de nos chefs de projet !
Pour commencer peux-tu te présenter ?
Je m’appelle Jean Gaignebet. Avant les chemins de fer j’ai travaillé dans l’automobile pour General Motors dans une entité produisant entre autres des joints homocinétiques (cardans). J’ai notamment été responsable du labo européen de tests et validations.
Par la suite, j’ai rejoint la SNCF en 2002 en intégrant l’AEF, une entité du domaine matériel. J’ai rejoint Eurailscout France en 2018.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
La journée est rythmée par des réunions autour du projet TOTEM (Traitement Opérationnel des Tournées des Engins de Mesure) que nous développons avec la SNCF. Le projet est mis en place en mode agile. Cette méthode consiste à construire la solution à travers des cycles courts de 15 jours appelé SPRINT. A la fin de chaque SPRINT, des tests et démonstrations sont présentés au client.
Quelles compétences as-tu développé dans l’entreprise ?
Travailler pour Eurailscout France m’a notamment permis de perfectionner la gestion de projet en mode agile mais aussi d’approfondir mes connaissances dans le domaine du ferroviaire, notamment autour des rails.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Ce que j’aime le plus c’est la gestion d’un projet. L’idée de partir d’une page blanche et de construire un outil dans son intégralité est passionnante.
Quelle a été ta plus grande réussite chez Eurailscout France ?
La phase de réponse à l’appel d’offre lancée par la SNCF pour la fourniture du logiciel IRISSYS®. Il s’agit réellement d’une réussite puisque cette phase a débouché sur une validation de la SNCF.
IRISSYS® est un logiciel permettant de suivre l’état du réseau ferroviaire et TOTEM est l’un de ses projets.
Quels conseils pourrais-tu donner à ceux qui souhaitent effectuer ton métier ?
De façon générale le chef de projet est au centre de toutes les décisions, il doit faire face :
- Au donneur d’ordre qui en veut toujours plus, le donneur d’ordre à toujours l’impression que le chef de projet cherche à minimiser et à simplifier la prestation contractualisée ;
- Aux équipes techniques, le chef de projet doit piloter des équipes dont il n’est pas directement responsable et qu’il n’est pas le seul à solliciter ;
- Aux sous-traitants, il se retrouve en position de donneur d’ordre ;
- A son directeur de projet qui assure un contrôle financier ainsi suivi global du planning.
NOTRE ÉQUIPE #3 : JEREMY, L'UN DE NOS OPÉRATEURS SIM
Il sillonne la France avec notre engin SIM, voici le parcours de … Jérémy, l’un de nos techniciens de mesure en infrastructure ferroviaire.
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études, tes passions ?
Je m’appelle Jeremy GAUTHIER, j’habite la jolie petite ville de Saint Pathus dans le 77. J’ai commencé mes études par un CAP pâtissier. Puis j’ai obtenu un BEP électrotechnicien pour finir sur un Diplôme de Technicien Réseau Câblé de Communication (TRCC)
Pourquoi as-tu décidé d’étudier dans ce domaine ?
Etant curieux de nature, j’ai souhaité découvrir l’univers de la pâtisserie car c’est une histoire de famille, mon frère et mon grand-père sont tous deux de ce milieu-là. Par la suite je me suis tourné vers l’électrotechnique car ce domaine m’intéressait également. Lors des semaines en apprentissage chez l’employeur, j’ai découvert le monde du réseau câblé de communication (coaxial / fibre optique), réseau télé, satellite etc. qui m’a passionné. J’ai donc décidé de faire carrière dans ce domaine et de passer mon diplôme de TRCC (équivalent à un Bac Pro).
Raconte-nous ton parcours chez Eurailscout ? Comment as-tu intégré l’entreprise ? Quel est ton poste ?
En 2013, j’ai entendu dire qu’une filiale SNCF recherchait un technicien parlant anglais et étant autonome pour travailler sur un engin de mesure ferroviaire. J’ai donc intégré Eurailscout France le 06 Janvier 2014 en tant que technicien SIM.
Actuellement technicien de mesure en infrastructure ferroviaire, mon rôle est d’assurer le bon fonctionnement en temps réel de l’engin de mesure sur lequel je me trouve.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
Ma journée commence par un tour de vérification et de préparation de l’engin de mesure avant le départ en ligne. Je rédige le bulletin de freinage qui est un document de sécurité obligatoire pour tous les trains. Avec l’aide du conducteur, je m’assure du bon freinage de notre train. Je démarre ensuite les systèmes de mesure et vérifie leurs bons fonctionnements. Enfin, je préviens le conducteur que je suis prêt à partir pour la journée où je suivrais en temps réel le bon fonctionnement de la prise de mesure.
Quelles compétences as-tu développé dans l’entreprise ?
Au sein de l’entreprise j’ai perfectionné mon anglais, développé ma compétence de formateur en formant tous les nouveaux techniciens SIM à l’utilisation de celui-ci, mon sens de l’organisation et de la gestion en prenant en charge une partie de la maintenance mensuelle du SIM.
Quelle a été ta plus grande réussite chez Eurailscout ?
Ma plus grande réussite a été de déverminer et fiabiliser le wagon SIM.
Ton meilleur souvenir chez Eurailscout ?
Lors d’une semaine de validation de nos systèmes de mesure, les lasers sous caisse se sont soudainement mis à monter en température en pleine ligne sans que je puisse les arrêter. Lorsque nous nous sommes stoppés, j’avais 10 minutes pour trouver et résoudre le problème avant de repartir car la situation devenait critique. J’ai réussi à relancer le refroidisseur à temps ce qui a sauvé la semaine de validation car sans cela j’aurais dû annuler le reste de la journée et éteindre complètement le wagon.
Suite à cet évènement j’ai eu un mail de la maison mère hollandaise me remerciant pour mon intervention efficace. Ce message de gratitude m’a beaucoup touché.
Quels conseils pourrais-tu donner à ceux qui souhaitent effectuer ton métier ?
Etre assidu et curieux, on n’en sait jamais trop sur notre travail, après plus de 7 ans j’en apprends encore aujourd’hui.
NOTRE ÉQUIPE #2 : MAXENCE, NOTRE ADJOINT DU RESPONSABLE DE PRODUCTION
D’Opérateur terrain à Adjoint du Responsable de production en passant par Chef de machine et Assistant technique de production : nous vous présentons le beau parcours de … Maxence !
Pour commencer peux-tu te présenter, nous raconter d’où tu viens, tes études ?
Je suis Maxence Paque, 32 ans et Adjoint du responsable de production au sein d’Eurailscout France.
Originaire du Nord, j’ai étudié à Lille et obtenu un DUT Mesure Physique ainsi qu’une Licence Physique et Instrumentation.
Je me suis rapproché de Paris afin de commencer ma carrière professionnelle ce qui m’a permis de trouver mon premier poste chez Eurailscout.
Pourquoi as-tu décidé d’étudier dans ce domaine ?
Mon arrivée dans le domaine ferroviaire s’est faite un peu par hasard. Etant attiré depuis toujours par le secteur de la mesure, j’ai trouvé une annonce pour être technicien de mesure sur Infrastructure Ferroviaire. N’ayant pas de connaissance particulière dans ce milieu mais étant curieux de nature, je me suis dit que ce challenge pouvait être une bonne opportunité.
Raconte-nous ton parcours chez Eurailscout ? Comment as-tu intégré l’entreprise ? Quel est ton poste ?
C’est en mai 2014 que j’ai intégré Eurailscout France en tant que technicien de mesure sur Infrastructure Ferroviaire sur l’UFM160.
A mon arrivée, l’entreprise était au début de son existence et l’UFM160 était l’un de ses premiers engins mesure (avec le SIM09). A cette époque, nous étions assistés par des opérateurs néerlandais présents pour nous apprendre l’utilisation, la calibration et l’entretien des systèmes de mesure.
Suite à cette année en tant qu’opérateur, on m’a proposé de devenir Chef de Machine sur l’UST15 : un nouveau wagon de mesure Ultrasons. Cela a été un réel défi pour moi puisqu’il fallait mettre en production pour la SNCF un nouvel engin de mesure. Eurailscout m’a proposé ce challenge et m’a fait confiance pour le réaliser. Ce fut pour moi un réel succès professionnel et personnel.
Après trois années en tant que Technicien itinérant (en déplacement du Lundi au Vendredi), j’ai émis le souhait de devenir sédentaire. Je suis alors devenu Assistant Technique de production et mes missions étaient de suivre les engins UFM160 et US15 afin de répondre à tous les problèmes techniques et logistiques. Ce poste m’a demandé beaucoup d’investissement et m’a permis de développer des compétences dans la gestion des problèmes à distance. Grâce à cela, j’ai été promu Adjoint du responsable production au mois d’octobre 2020.
Quelles sont tes tâches au quotidien ?
Au quotidien au sein de la cellule production, nous devons faire en sorte que l’ensemble de notre flotte réalise les mesures demandées/commandées par la SNCF. Notre organisation est primordiale afin que les effectifs terrain aient toutes les informations et les éléments logistique pour assurer nos productions. En ce sens, nous sommes en contact régulier avec nos homologues Néerlandais (propriétaire des engins), l’Infralog National (gestionnaire des sillons et de la programmation de nos engins) et nos équipes pour anticiper et résoudre d’éventuels imprévus.
Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?
Ce que j’aime le plus dans mon métier c’est la diversité des tâches. En effet, nous sommes toujours amenés à prendre du recul et à sans cesse se poser de nouvelles questions afin de répondre aux différents besoins. Notre objectif est d’assurer la continuité de la production et trouver tous les moyens possibles pour résoudre au plus vite d’éventuelle panne ou de problème de logistique.
As-tu une anecdote à nous raconter (à propos de ton métier, ton entreprise, une tâche que tu as dû réaliser …) ?
Voici l’anecdote de ma plus longue journée chez Eurailscout : La SNCF nous avait programmé une reprise de production à Toulouse le 2 Janvier à 7h00 du Matin. Afin de pouvoir assurer cette production, j’ai dû me déplacer le 1er au soir dans un train de nuit. L’acheminement s’est bien déroulé et je suis arrivé sur le train avant le début de la journée. Une relève était prévue vers 10h afin de me remplacer.
Sauf que la mise en service du train ne s’est pas déroulé comme prévu. Le froid avait déchargé les batteries de l’engin et ne permettait pas de le démarrer. J’ai dû dans un premier temps essayer de trouver une solution et après 4 heures de recherche, nous avons pu trouver les batteries et les remplacer. La production a finalement été assuré et poursuivie par ma relève. Je suis rentré à l’hôtel après une journée de 16 heures (acheminement + dépannage).
Ton meilleur souvenir chez Eurailscout ?
Mon meilleur souvenir est lié à la mise en service de l’US15. Nous étions sur notre première production sur l’Infrapôle Paris Nord en train de mesurer la gare de Paris Nord où des représentants SNCF étaient présents. Avec mon collègue nous étions concentrés sur les mesures lorsqu’une personne de la SNCF nous interpelle pour nous dire : « Messieurs, je ne sais pas si vous vous rendez compte mais vous êtes en train de faire des mesures dans la plus grande gare d’Europe et la deuxième dans le monde ». Et c’est vrai que c’était la première fois qu’un Engin Ultrasons mesurait la gare de Paris Nord. C’est un très grand souvenir et une grande fierté pour moi.
Une dernière phrase pour conclure ?
« We Never Know » : c’est une des premières phrases que mes homologues néerlandais m’ont dit. C’est simplement une phrase que l’on se disait afin de signifier que l’on peut toujours avoir de bonnes surprises lors des productions ou des dépannages.
NOTRE EQUIPE #1 : SOFIENE, L’UN DE NOS ASSISTANTS CHEF DE PROJET
Il se cache derrière des codes informatiques complexes et sa dernière photo qui date de 2002, here he is… Sofiène. A travers cet article, vous allez découvrir l’un de nos assistants chef de projet et son quotidien au sein d’EURAILSCOUT France. Etes-vous prêt ? Let’s go !
Pour commencer, peux-tu nous raconter d’où tu viens, ton parcours & tes passions ?
Je viens du Sud Est de la France et ma passion informatique n’a cessé de grandir à travers mes études. J’ai un peu sillonné la France et voyagé à l’étranger à travers le pays et à l’étranger.
Niveau diplôme, j’ai une licence professionnelle avec 2 DUT dont le titre de développeur logiciel et j’ai donné des cours au CNAM de Paris.
J’ai deux passions :
- L’informatique
- La bière
Raconte-nous ton expérience chez Eurailscout France ?
En réalité, j’ai passé deux entretiens et j’ai été pris lors du deuxième, comme quoi, il ne faut jamais renoncer.
En tant que développeur, j’ai réalisé pas mal de logiciels POC (Preuve de conception) et des « moulinette » (cela sert à réaliser des statistiques et de gros calculs …). Suite a cela, on m’a proposé de changer d’équipe pour un projet beaucoup plus important et aujourd’hui, j’en suis le responsable technique (expert ? moi ? pas sûr …)
Et alors, comment se passe une journée type dans ta peau ?
Mon travail dépend des autres, il peut toujours y avoir un problème à régler, des choses à tester, des suivis à réaliser.
Il faut donc faire preuve de beaucoup d’organisation (instant pub pour Trello), trouver le bon équilibre entre la réunion qui doit nous servir à comprendre les souhaits et besoins de nos clients et la charge de travail que cela représente en termes d’analyses et de documents à rédiger
Instant citation : « L’organisation est la base du succès ».
Où te vois-tu dans 3 ans ?
J’ai du mal à répondre à cette question car j’ai toujours vécu ma vie comme elle arrivait. Je pense rarement à quoi demain sera fait. Je me laisse emporter par le destin ! Mais laissons de côté la philosophie et revenons à la raison ! D’ici 3 ans, je me verrais bien gérer une mission de A à Z et avoir une équipe sous ma responsabilité : On nous laisse développer des projets en intégrant nos remarques et nos idées, comme on dit sur LinkedIn #RejoignezEurailscoutFrance
Peux-tu nous donner un exemple d’une situation à laquelle tu as dû t’adapter ?
Lors d’une mission, j’ai réalisé un développement plutôt conséquent, cela consistait en un découpage de PDF pour une impression par traceur.
J’avais changé de projet, et j’ai donc effacé certains dossiers qui correspondait à mon ancien poste. Sauf que j’avais effacé mon développement et que quelques mois plus tard, on m’a demandé de le fournir : introuvable ! Ni sur mon PC, ni sur le serveur de développement !
La seule chose que j’ai pu retrouver, c’est le fichier exécutable de ma version, mais impossible de mettre la main sur le code source, j’ai vraiment eu peur cette fois-ci. Du coup, j’ai cherché partout comment faire pour remonter un logiciel en fouillant sur le net, j’ai dû faire ce qu’on appelle du reverse engineering.
Crois-moi, ça m’a pris pas mal de temps ! Mais après quelques jours, j’ai pu remettre la version a jour.
On m’a dit : « Tu l’avais rangé où » ?
Ma réponse : « ne t’inquiète pas »
Un dernier mot pour la faim ?
Je remercie tous les traiteurs du Marché St Quentin pour la qualité des produits et les kilos pris depuis 3 ans.